Violet Sorrengail, 20 ans, devait passer une vie tranquille à recopier des parchemins… mais c’était sans compter sur sa mère, une générale redoutable manifestement épargnée par l’instinct maternel, qui décide d’en faire une chevaucheuse de dragons.
Petit hic : Violet est aussi robuste qu’une tasse en porcelaine. Heureusement, elle compense avec une intelligence redoutable et une sacrée dose de courage. La voilà donc à affronter les épreuves (souvent mortelles) de son école militaire, à résister tant bien que mal à un élève de deuxième année très très charismatique, et à se forger de belles amitiés en cours de route.
Au programme : mondes imaginaires, dragons, magie, combats, trahisons, histoire d’amour (mais pas dark romance, ouf) et tous les tropes de la romantasy bien assumés.
J’ai lu ce roman par curiosité (il a littéralement envahi BookTok) et parce que ma fille tenait absolument à ce qu’on le lise ensemble.
Je suis actuellement en train d’écouter le tome 2, mais franchement… je ne suis pas sûre d’avoir l’énergie pour 600 pages de romantasy.
Ce que j’ai aimé : l’univers, les dragons, les descriptions soignées, et une intrigue bien ficelée qui tient en haleine.
Ce que j’ai aimé : l’univers, les dragons, les descriptions soignées, et une intrigue bien ficelée qui tient en haleine.
Et puis, soyons honnêtes : au vu de la situation politique actuelle aux États-Unis, je comprends parfaitement le succès de romans comme celui-ci. Ils nous offrent une bulle d’évasion bienvenue, un moyen de mettre la réalité entre parenthèses le temps de quelques chapitres (ou heures d’écoute).
Personnellement, je l’ai écouté dans la voiture à la place des infos, et ça me fait un bien fou.
Cerise sur le gâteau : ça a été un vrai plaisir de partager ce roman avec mes filles, de faire des prédictions, critiquer les personnages, débattre des rebondissements… Une expérience de lecture intergénérationnelle aussi fun que complice.
Ce que j’ai moins aimé : des longueurs, des répétitions… et un usage assez excessif des “sh!t” et “f*ck” (je l’ai lu en VO). Honnêtement, ça n’apporte pas grand-chose.